Besoin d’aide ? (fichier pdf dans un nouvel onglet)
Pour publier je m’inscris ici
Ecologie. Jusqu'où ?
Citation de Mireille le 21 octobre 2020, 15 h 31 minL'écologie est dans notre ADN :
- par le réemploi : un bien dont je me suis lassée peut tout à fait convenir à une autre personne.
- par relocalisation des échanges : si je trouve au SEL l'objet dont j'ai besoin plus besoin de faire appelle à Ama...z... vous m'avez comprise :))
- par l'échange de bons plans et de bonne pratiques : relooker un vêtement...
Mais en 2020 est-il toujours temps pour les petits pas ? La crise climatique qu'on a mise sous le tapis déborde de toute part et il ne nous reste que 10 ans pour faire collectivement volte face et limiter les dégâts.
Evidemment au SEL, avec une moyenne d'âge qui doit frôler les 65 ans, on peut se sentir moins concerné... Mais on a tous, si ce n'est pas des gosses et petits enfants, au moins de neveux/nièces dont l'avenir nous inquiète.
Alors peut-on agir ? Nos réseaux peuvent-il être vecteurs d'information vers le public, mais déjà peuvent-ils l'être en interne ? Car nous n'avons peut-être pas tous·tes le même niveau de connaissance de l'urgence. Cette information arrive prioritairement par le web, les média traditionnels ne sont vecteurs que de contre vérités... et ça m'énerve !
L'écologie est dans notre ADN :
- par le réemploi : un bien dont je me suis lassée peut tout à fait convenir à une autre personne.
- par relocalisation des échanges : si je trouve au SEL l'objet dont j'ai besoin plus besoin de faire appelle à Ama...z... vous m'avez comprise :))
- par l'échange de bons plans et de bonne pratiques : relooker un vêtement...
Mais en 2020 est-il toujours temps pour les petits pas ? La crise climatique qu'on a mise sous le tapis déborde de toute part et il ne nous reste que 10 ans pour faire collectivement volte face et limiter les dégâts.
Evidemment au SEL, avec une moyenne d'âge qui doit frôler les 65 ans, on peut se sentir moins concerné... Mais on a tous, si ce n'est pas des gosses et petits enfants, au moins de neveux/nièces dont l'avenir nous inquiète.
Alors peut-on agir ? Nos réseaux peuvent-il être vecteurs d'information vers le public, mais déjà peuvent-ils l'être en interne ? Car nous n'avons peut-être pas tous·tes le même niveau de connaissance de l'urgence. Cette information arrive prioritairement par le web, les média traditionnels ne sont vecteurs que de contre vérités... et ça m'énerve !